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FAITS DIVERS
Le fait divers du jour : il viole le cadavre de sa sœur à la morgue 22 août NECROPHILIE

Dans la morgue d'un hôpital camerounais, un homme a été surpris en train de violer le cadavre de sa sœur. L'individu a ensuite acheté le silence de celui qui l'a découvert, avant d'être finalement chassé de l'établissement. L'auteur des faits n'aurait pas été inquiété. Incroyable, mais pourtant vrai, si l'on en croit plusieurs médias africains. Au Cameroun, un riche homme d'affaires s'est rendu coupable d'un acte odieux, le 15 août dernier à l'hôpital central de Yaoundé. S'y présentant en fin de soirée pour voir la dépouille de sa sœur cadette, Bernard est accompagné jusqu'à la morgue par un employé à qui il demande quelques minutes de quiétude pour rendre un dernier hommage à Hortense. De l'argent versé pour poursuivre sa besogne De longues minutes s'écoulent et, ne voyant pas l'homme ressortir, l'employé décide de s'enquérir de la situation. La porte s'ouvre alors sur un effroyable spectacle : Bernard s'agite frénétiquement contre le cadavre de sa sœur dans le plus simple appareil. Selon Afriquinfos, qui relate ce fait divers morbide, l'employé aurait alors essayé de chasser le nécrophile, lequel réussit pourtant à acheter son silence moyennant le versement d'une somme comprise entre 50.000 et 150.000 francs CFA, soit 75 à 225 euros. Ce sont finalement les gémissements de l'homme retourné à sa besogne qui le trahiront, les bruits attirant l'attention d'infirmiers incorruptibles qui l'expulseront de l'hôpital. Une histoire sans morale puisque l'auteur des faits n'aurait pas été inquiété. Plusieurs médias africains évoquent un acte qui ne serait pas isolé dans le pays d'Afrique centrale, le site d'informations Koaci précisant que "des réseaux bien huilés assouvissent tous les désirs jusqu'à l'impensable à des clients à la recherche de la richesse et de pouvoirs surnaturels".


   une prostituée seduite par un fantôme


En faisant la rencontre de Yannick cette nuit-là au Safari night-club (une discothèque située au Mont Fébé), Ingrid B était loin de se douter qu’elle tombait sur un dandy qui avait quitté cette vallée des larmes, il y’a quelques années. C’est sous un ciel moutonneux qu’Ingrid, spécialiste du plus vieux métier du monde, a choisi d’arpenter les collines escarpées du mont Fébé; pour la traque des proies pleines aux as. Y étant, comme toute péripatéticienne expérimentée, Ingrid avait quelques sous pour, ne fut-ce que se taper son ticket d’entrée et s’offrir un petit jus. Comme toutes les prédatrices, son regard s’est posé sur une table où un jeune homme à l’habillement très british lui faisait des clins d’œil, tout en l’invitant par un hochement de tête, à rejoindre sa crédence. Etant véritablement en mission, celle-ci, sans se poser de questions, a rejoint, illico presto son prince charmant du dimanche. Yannick lui fait une cours assidue non sans lui promettre monts et merveilles au cas où… Ingrid cède à ces appels du cœur. Les numéros de téléphone sont aussitôt échangés. Les deux, tourtereaux se comportent désormais comme s’ils se connaissaient depuis des lustres. Câlins, bécots, attouchements, danses, promesses de mariage et consommation des grands crus accompagnent cet amour naissant. «Les choses» coulent au point où la jeune fille est convaincue d’avoir trouvé l’homme qui l’a fera quitter ce métier pour une vie satisfaisante. Au bout de la nuit, les deux amis décident de se séparer, avec la promesse ferme de s’appeler au téléphone. Ce qui est d’ailleurs fait dès le lendemain. Une semaine après leur première rencontre, les deux amoureux se retrouvent dans un restaurant de la place. Après un repas copieux et plantureux bien arrosé, Yannick prend sur lui d’indiquer son domicile qui, avait-il dit, se trouverait au «Rond-point Nlongkak» à Yaoundé. Ingrid doit s’y rendre le lendemain à 18 h. Yannick lui remet un bon pactole avant de prendre congé d’elle. La jeune fille est galvanisée. Une fois sur les lieux, elle se renseigne chez des dames faisant du petit, commerce aux alentours. Renseignement pris, elle se rend chez Yannick. Une fois sur place, elle toque à la porte et est accueillie par une voix féminine. C’est la mère de Yannick. Une fois la porte ouverte, elle demande à voir Yannick. Et la mère de s’étonner: «je n’ai pas deux Yannick ici. Si c’est mon fils, il est mort depuis cinq ans, voilà d’ailleurs sa photo accrochée au mur», explique-t-elle les yeux embués de larmes. La jeune fille a niée tout en bloc: «Mama, c’est faux je suis avec lui tous des jours. Pas plus tard qu’hier, j’étais dans un restaurant avec lui. C’est lui qui m’a invité ici ce soir (sic)», lance-t-elle blême de peur. Devant son refus catégorique de croire à cette nouvelle, la mère de Yannick l’enjoindra de la suivre à l’arrière de la maison. Une fois devant la pierre tombale, photo à l’appui, elle lui dira: «voici la tombe de mon fils. Est-ce que j’ai besoin de te mentir ma fille? Avec ce que tu me racontes là, j’ai l’impression que mon fils a été vendu au kong où au Famla». La jeune fille s’est aussitôt effondrée. Elle a été conduite dans un centre hospitalier pour la réanimation. Après avoir retrouvé ses esprits, elle a décidé d’abandonner la prostitution, pour se jeter dans le commerce. Sa santé s’est aussi, considérablement dégradée. Ses jours sont-ils comptés? Bien malin qui pourrait répondre.





Yaounde: un prêtre sodomise un servant de messe.

L’abbé Mathias Bilong Mbogo, fraîchement sorti de Ngoya et qui avait été consacré prêtre il y’a quelques temps par l’évêque démissionnaire Tonyè Bakot à Mbalmayo, vient d’être surpris en train de violer un jeune servant de l’église, le nommé Bikhéa Lucien Placide, élève au collège Vogt et servant de messe depuis plus de deux ans. Tout a commencé quand le jeune prêtre, affecté, arrive au sein de la paroisse et souhaite s’entretenir avec tous les servants et autres choristes de ladite paroisse. Ceci afin, disait-il, de mieux connaitre ses ouailles et savoir avec qui il devait fonctionner pendant tout son séjour au sein de la paroisse. Une réunion fut donc convoquée pour le mercredi 9 octobre 2013. A cette réunion assistait le quasi-totalité de tous les servants ainsi que certains groupes de chorales conviés à la rencontre. Le jeune Lucien Placide, empêché, car étant en pleine évaluation à l’établissement, n’a pas pu assister à cette rencontre. C’est alors que le jeune et beau prêtre va demander les raisons de son absence. Il lui intimera donc l’ordre de le rejoindre à la sacristie afin qu’ensemble, ils puissent faire le tour des discussions abordées avec les autres. Il va commencer à faire des avances au jeune garçon qui sera scandalisé par cette attitude bizarre et va s’enfuir tout en jurant de ne plus jamais remettre les pieds dans ce lieu maudit et impur sans pour autant dire à qui que ce soit. Lors d’une seconde rencontre, le prêtre lui demandera de ne parler de cela personne. Tout peureux et soumis comme l’exige la foi catholique, Lucien ne va souffler mot à personne. C’est samedi dernier que lors du nettoyage de la paroisse par son groupe. Le prêtre pédophile demandera au jeune Lucien d’aller plutôt nettoyer la salle des actes, la bienheureuse Jean Paul II. Une fois là-bas, le prêtre va le rejoindre et le forcer à se courber afin qu’il lui procurer du “bonheur”. Ce sont les cris et pleurs du jeune Lucien qui vont alerter les autres membres du groupe qui vont affluer dans le but de sauver leur camarade. Ils seront consternés et estomaqués de trouver un prêtre entièrement nu derrière un jeune garçon agenouillé et pleurant à chaudes larmes. Le prêtre va se rhabiller et disparaître. Jusqu’à présent on ignore la destination prise par ce fils de Lucifer. Selon les informations glanées dans cette même paroisse, ce prêtre aurait transmis la chaude pisse et la syphilis à plusieurs choristes de la paroisse qui ont profité de cette occasion pour se plaindre du harcèlement donc elles sont victimes depuis des années de la part de tous les prêtres envoyés là-bas. Même le curé serait indexé pour harcèlement de jeunes garçons. Ces mêmes choristes ont déballé les points de rencontres secrètes de tout le staff impliqué dans cette mafia. Depuis que ces dernières se plaignent, rien n’est fait pour arrêter Le massacre.


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Cameroun:Il engrosse sa petite soeur :: CAMEROON

Cameroun:Camer.beLes habitants de Pitti Dibamba, village de l’arrondissement de Dizangué dans le département de la Sanaga maritime, sont encore sous le choc. Nicholas P., 25 ans, a engrossé sa petite soeur, âgée de 18 ans. Les témoins rapportent que les parents ont découvert le pot aux roses dans la nuit du lundi à mardi 1er octobre 2013. En effet, la jeune fille, élève en classe de seconde A4 au lycée de Dizangue, refusait de révéler le nom de l’auteur de sa grossesse à ses parents. Face à la colère de son père qui menaçait de la conduire dans un commissariat pour la faire bastonner, elle a fini par céder.

C’est ainsi qu’elle leur avoue que c’est son grand-frère Nicholas qui est le père de l’enfant qu’elle porte en son sein. Une réunion familiale a été programmée pour le 12 octobre 2013. Au cours de cette assise, leurs parents espèrent faire des rites traditionnels pour « éviter la malédiction » sur leurs enfants.


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Cameroun,Faits divers : Un enfant de trois ans meurt après avoir bu un litre de vin rouge :: CAMEROON

Vins de Bordeaux:Camer.beLe jeune Jean Jules Junior Moulema Edoubé, trois (03) ans, est décédé le 07 novembre dernier après avoir bu un litre de vin rouge, laissé dans un coin de la maison, par sa maman. Son frère aîné Moulema Edoubé Wenceslas huit (08) ans, est toujours dans le coma dans un centre hospitalier de Yaoundé.Tout commence le dimanche 03 novembre, lorsque Madame Moulema Edoubé Virginie Claire Bernadette née Endalé II, dont l’époux est en service dans les forces armées Camerounaises, plus précisément au sein de la brigade mobile d’intervention (bir).  Il est affecté à l’Extrême-Nord du Cameroun depuis six mois. Dans la région de Maroua qui vit connaît la recrudescence du grand banditisme.

Ce dimanche, l’épouse du bidasse reçoit sa belle-famille, deux frères de son époux, accompagnés de leurs épouses. Tous se mettent à table et  accompagnent le repas  du vin offert par leur hôte. Du vin rouge contenu dans une dame jeanne de cinq (05) litres est servie aux convives.

Ils boivent de ce vin en mangeant le Mbongo-Tchobi, avec du manioc (spécialité Camerounaise des communautés sawa dans la région du littoral-Cameroun). Sans en offrir aux deux gamins qui les regardent en se posant des questions sur ces adultes qui entretiennent la conversation à gorge chaude. Et, rient aux éclats.

De l’avis du voisin, interpelé par la police, comme témoin, les adultes disaient des mots crus face aux enfants qui ne comprenaient pas la source de tant de bonheur et de joyeusetés. Après avoir reçu ses invités, dame Virginie Claire Bernadette née Endalé II. Envoie l’aîné de ses enfants, Wenceslas, gardé le reste de la dame jeanne dans le réfrigérateur. Soit plus de deux litres.

Samedi 9 novembre, près d’une semaine plus tard, elle se rend au marché en laissant à la maison, ses deux enfants. L’ainé qui avait toujours souvenir de la dame jeanne de vin gardé par ses soins au réfrigérateur, propose à son jeune frère de goûter au nectar, pendant l’absence de leur maman.

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France - Cameroun : Chantal Biya se maquille en pleine conférence (Vidéo) :: CAMEROON

France - Cameroun : Chantal Biya se maquille en pleine conférence (Vidéo)Paris 07 Décembre 2013. C'est à l’appel de la Première dame française, Valérie Trierweiller, que les épouses de chefs d’Etats africains participant au sommet de l’Elysée se sont réunies au musée d’Orsay pour évoquer les brutalités commises contre les femmes dans les régions en conflits en Afrique et dans le monde.

Chantale Biya, la première dame du Cameroun n'a pas manqué, une fois de plus l'occasion de se faire remarquer négativement.

Pour qui Chantoux se rend elle belle en pleine conférence? Mystère et boule de gomme...

La femme à la crinière de feu a passé le clair de son temps à se maquiller en plein débat. Les paparazis n'ont (malheureusement)pas loupé le geste Qu'aura donc retenu la belle de la république de ce sommet néocolonial dont l'époux était accompagné d'une délégation forte d'une soixantaine de personnnes, toutes aux frais du pauvre contribuable ? Rien du tout, peut-on parier.

Heureusement pour elle, elle ne rendra compte de ce forfait à personne...

 

 Les deux enfants vont boire le vin laissé par les aînés, dans un gobelet, qu’ils se passent à tour de rôle. Ils en boiront au point  de tomber de sommeil. De retour du marché, la maman retrouve dans sa cuisine, les enfants assoupis à côté de la dame jeanne de vin rouge. Trempés dans les urines.

 

Il n’en restait que quelques gouttes sur les deux litres laissées une semaine plus tôt par leurs oncles. La maman éplorée appellera au secours le voisinage de son quartier de Messassi. Ils emmèneront d’urgence les deux enfants au dispensaire de Messassi.

Le plus jeune, Jean Jules Junior Moulema Edoubé, trois (03) ans, décèdera quelques heures plus tard. Tandis que son frère aîné est encore dans le coma. La maman est gardée à vue dans un commissariat de la ville.

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Cameroun - Une ancienne détenue de Kondengui : « J’ai eu des rapports sexuels forcés avec Marafa Hamidou Yaya ». :: CAMEROON

Cameroun - Une ancienne détenue de Kondengui : « J’ai eu des rapports sexuels  forcés avec Marafa Hamidou Yaya »::CameroonEmprisonnée dans le cadre d’une affaire de faux et usage de faux, elle a été blanchie et libérée par la justice au mois de septembre 2013. Elle aura passé 25 mois de détention à la prison centrale de Yaoundé. Là-bas, elle a vécu des moments difficiles. Entretien avec Odette. 

Bonjour Odette
Bonjour

Dans quelles conditions arrives-tu en prison ?
J’ai été accusée par un individu dans une affaire que je ne connaissais pas. Lorsque j’ai su qui était derrière, tout de suite, j’ai compris qu’il s’agissait d’un règlement de compte. J’ai été embastillée d’Août 2011 à Septembre 2013 à la prison centrale de Yaoundé. En fin de compte, la justice m’a signifié un non-lieu au terme d’une information judicaire de 25 mois.

Comment étiez-vous traitée en prison ?
C’était très rude à mon arrivée. Je faisais face à des traitements inhumains. Une traque morale et psychologique était exercée sur moi. Mais lorsque j’avais compris qu’il faut être disciplinée, c’est-à-dire se laisser aller sans aucune résistance, alors les geôliers devenaient gentils avec moi. Dans notre quartier 5 féminin, je fus la plus discipliné et c’est ainsi que tout le monde m’appréciait.

Lorsque tu dis qu’il faut se laisser pour qu’on soit gentil avec toi qu’est-ce que cela veut dire exactement ?
Quand tu arrives en prison, tu penses que c’est encore la vie de chaque jour, non. En ce moment précis, tout  a changé. C’est un autre monde et une fois que tu es là-bas, pour éviter la torture, il faut entrer dans le système contre ta volonté. Dans le cas contraire, vous connaîtrez une torture psychologique et physique. Pour nous les femmes, c’est grave.

A propos comment les femmes sont-elles traitées ? 
Une fois que tu es là-bas, ton corps ne t’appartient plus. La moindre résistance te coûte la torture. J’ai vécu cela à mon arrivée et ensuite, j’ai été obligée de me laisser aller.

Cela signifie qu’à tout moment tu étais disponible pour des rapports sexuels ?
Je ne voulais pas. Mais pour éviter la torture, je le faisais. Mais il arrivait des moments que je déclarais que mon organisme est « saturé » (rires) afin qu’ils m’évitent.

Qui étaient ces gens qui entretenaient des rapports sexuels avec toi ?
Certains geôliers et les prisonniers politiques.

Certains prisonniers politiques ?
Oui

Comment cela était-il possible ?
Je vous comprends mais il faut savoir qu’en prison, tout est possible. En fait un soir, nous étions déjà endormis aux environs de 00h30, un geôlier dont je préfère taire le nom m’a demandé de le suivre. J’avais très peur car c’était la première fois que ces fous me réveillaient à une heure aussi tardive de la nuit. Mille questions traversaient mon esprit. Quelques temps après, je constatais qu’il me dirigeait vers le quartier 13 bis qui n’était autre que celui des prisonniers politiques Yves Michel Fotso et Marafa Hamidou Yaya.

A quoi as-tu pensé à ce moment ?
J’étais bouleversée et je ne comprenais rien. J’avais peur et j’ai posé la question au gardien de prison qui m’y conduisait de savoir ce qui se passait. Il s’est arrêté un moment et m’a répondu : « as-tu déjà rencontré une haute personnalité dans ta vie » ? Je lui ai répondu par la négative. Il m’arrêta par la main et dit : « ma chérie, je n’ai pas un bon salaire, je vis plus de mes transactions nocturnes, l’une des personnalités que tu vas rencontrer m’a donné beaucoup d’argent pour lui rendre un service, un service que toi aussi tu dois donner. Ensuite, je veillerai pour que tu sois bien traitée dans ta cellule jusqu’à ta sortie de prison. N’oublie pas que tu es la plus belle et la plus intellectuelle des prisonnières. Beaucoup d’argent t’attend ».  J’ai imposé mon refus à tout ce qu’il m’a dit, et il m’a promis une torture morale et physique, alors j’ai cédé. Il m’a conduit vers Marafa, lorsque je suis entrée dans la cellule de Marafa, je l’ai trouvé calme. Nous avions dialogué longtemps par rapport à l’actualité, à son incarcération. Il m’a posé beaucoup de questions sur ma vie et ma présence à Kondengui. Ma situation l’avait beaucoup choqué. Il a décidé de m’aider avant que sa sentence ne soit prononcée.

Vous n’avez pas eu des rapports sexuels ?
Non, pas cette nuit-là, nous avons beaucoup échangé. J’ai compris que Marafa ne voulait pas me considérer comme une prostituée, mais comme une amie qu’il pouvait à tout moment rencontrer. Et je fus la seule des prisonnières à entretenir des moments intimes avec lui, jusqu’au jour de son transfèrement pour le Sed. Ce qui est vrai, c’est que j’ai eu des rapports sexuels forcés avec Marafa. Il avait chargé un monsieur de s’occuper de moi s’il lui arrivait quelque chose. 

Qui était ce monsieur ?
Pour rien au monde, je ne vous donnerai des précisions.

Pourquoi devait-il s’occuper de vous ?
Il avait pour mission de veiller sur moi en prison et  de me remettre 5 millions de francs Cfa, lorsque je sortirais de prison. Mais malheureusement, je n’ai reçu que 2 500 000 FCFA. 

C’est la raison pour laquelle tu as décidé de parler ?
Pas vraiment, il n’y a pas eu de contrat, ni de contrepartie, Marafa m’avait tout simplement fait une promesse. Je veux tout simplement dire que cet homme est gentil. Je l’ai côtoyé, il n’est ce qu’on pense, il n’est pas homosexuel. Il m’avait dit que ses détracteurs l’exposent comme un promoteur de l’homosexualité, pour que le peuple camerounais qui est contre ce fléau, se détourne de lui. En réalité, il a un très grand penchant pour les femmes. Peut-être personne ne va me croire, mais c’est une réalité, je ne veux pas tout simplement entrer dans les détails. 

Tu as connu Yves Miche Fotso ?
Pas vraiment, mais il était le prisonnier le plus surveillé de la prison. Il a aidé beaucoup de prisonniers. 

Es-tu toujours en contact avec Marafa ?
Non, je voudrais lui rendre visite mais ce n’est pas facile.

Comment passes-tu tes journées ?
Grâce à l’argent que Marafa m’a donné, j’ai recommencé les voyages pour Dubaï. Je suis une femme d’affaires célibataire avec un garçon de 08 ans.

Tu regrettes avoir fait certaines choses en prison ?
Vous savez lorsque vous êtes en prison, c’est comme si vous êtes sur une autre planète, loin de la terre. Et vous êtes parfois obligé de faire certaines choses sinon vous pouvez mourir.
Je regrette beaucoup certains actes que j’ai posés mais si je ne le faisais pas, je ne serai peut-être plus vivante aujourd’hui. 

Tes affaires marchent bien ?
Oh oui, l’argent que j’ai reçu de Marafa m’a permis d’augmenter mon capital et j’ai bien le bénéfice aujourd’hui

La prison t’a aidée alors ?
A quelque chose malheur est bon.

Tu souhaites repartir en prison ?
Non (rires aux éclats) pas du tout. Jamais de la vie (rires).

Marafa te manque ?
Un peu.

 

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Cameroun: Elle vole les pagnes du 8 mars et se fait tabasser par ses bourreaux au quartier Essos à Yaoundé :: CAMEROON

Honte Cameroun:Camer.beChasser le naturel, il revient au galop….Ca doit vous faire marrer...  Eh oui, c'est une dure réalité. Parfois on aimerait bien ne pas en parler...  On croit  souvent voler, bien voler et passer inaperçu et puis..un jour, quand on a déjà pris goût on se fait piocher Au quartier Essos à Yaoundé, ça ne bruit que du vol dans lequel est empêtré une jeune dame,  l’affaire est sur toutes les lèvres . Thérèse Beyene est son nom. Prise en flagrant délit de vol dans magasin de vente de tissus au quartier Essos, mercredi dernier, Thérèse Beyene a été sévèrement esquintée par le maître des lieux. La voleuse qui n’était pas à sa première tentative, est revenue où elle avait l'habitude de voler les pagnes du 8 mars. 

Mercredi dernier, Therese Beyene. s'est rendue dans ce magasin située à l'Avenue Germaine pour "s'approvisionner" comme elle en avait l'habitude . Selon les dires du patron de ce commerce, Therese profitait généralement de l'affluence pour "se servir". Le gérant de ce magasin ayant constaté que d'importantes pertes étaient enregistrées dans son magasin, se décida d'installer des cameras de surveillance. ce que Thérèse ne savait pas

Thérèse B étant revenue voler les tissus pagnes a pu dérober trois pagnes qu'elle a pris le soin de cacher dans le "Kaba Ngondo" qu'elle portait mais, à sa sortie du magasin, elle a croisé  le propriétaire du Commerce devant le portail. Ce dernier l'a appréhendé.A la demande de voir ce qui se trouve dans son "Kaba ngondo", cette dernière refusa en arguant qu'elle est enceinte

Pour ne pas violer son intimité, le propriétaire de ce commerce a donc décidé avec l'aide de deux de ses vendeuses, de procéder à la fouille de Thérèse B.Ils ont trouvé sur elle les trois pagnes volés.Du coup, son ventre au paravant costaud a perdu sa grosseur.

Interrogée sur les motifs de son forfait, dame Beyene a affirmé à ses bourreaux qu'elle volait les pagnes dans le but de les revendre au marché noir au prix de 5000 frs Cfa la pièce. Le prix officiel étant 6750 francs CFA.

Sans hésiter les maîtres des lieux l'ont fait monter dans une pièce au premier étage de l'immeuble abritant le commerce victime pour la rouer de coups. N’ayant personne pour la secourir la voleuse s’est mise à crier au point d’ameuter le voisinage. Tirée des griffes de ses bourreaux par des voisins, la dame a pris ses jambes à son coup pour se réfugier dans un domicile du coin. Comme quoi, 99 jours pour le voleur et un seul jour pour le patron. L’on espère seulement que dame Beyene sera de la fête demain 8 mars. A vendredi prochain et bon vendredi


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Cameroun : Scandale d’un film pornographique à Meiganga :: CAMEROON

Cameroun : Scandale d’un film pornographique à  MeigangaUn Alhadji, dans leur intimité avec son amante qui plus est la femme de son oncle, tourne un film porno avec celle-ci. Le sort aura voulu que la vidéo tombe entre d’autres mains qui vont la divulguer dans toute la ville. Les deux amants sont portés-disparus.
 
Depuis deux semaines, ce qui est considéré comme la nouvelle la plus honteuse alimente les discussions à Meiganga, chef-lieu du département du Mbéré et partant dans toute la région de l’Adamaoua. Un film pornographique tourné par deux personnes bien connues de la ville fait le tour de la ville à travers téléphones portables et autres lecteurs numérique. En effet, c’et le « film de Alhaji Hamza et Hadja Aminatou » comme on a dénommée cette bande. 

Dans une vidéo d’une durée de 1h 42 min, Alhadji Hamza et son amante Hadja Aminatou, épouse de son oncle, ont immortalisé leurs rapports sexuels dont ils entretiendraient depuis quelques temps. Selon les informations recueillies Alhaji Dalaïlou grand commerçant installé à Meiganga, soupçonnait son neveu Alhaji Hamza d’entretenir une relation amoureuse avec  sa femme, Hadja Aminatou.  Dès lors, Alhaji Dalaïlou aurait convoqué nous a-t-on confié, une réunion de famille « pour éclaircir l’affaire ». Sauf que, l’amant indexé, Alhaji Hamza aurait nié l’accusation de son oncle.

Se sentant humilié par son épouse et voulant mettre fin à la relation soupçonnée entre son neveux Alhadji Hamza et son épouse Hadja Aminatou,  va renvoyer sa femme chez les parents de cette dernière pour qu’elle «  réfléchisse sur son comportement adultérin ». Malheureusement pour cet époux, c’est dans cette période d’éloignement de son épouse,  que les deux amants vont continuer à entretenir leur relation. Selon les eplications recoupées par votre journal, le dernier jour de leur rencontre avant que Hadja Aminatou ne regagne son foyer, les deux amants ont décidé d’immortaliser leur relation amoureuse.  Ainsi, le couple adultérin a décidé de tourner un « film porno » d’une durée de plus de près de 2 heures dans un hôtel de place. Après le tournage, l’amante a récupéré la camera pour la garder et se remémorer toutes les fois que l’occasion s’y prêtera.

Mais le malheur de deux amants viendra quelques jours seulement après le tournage de leur film, quand la copine de Hadja Aminatou viendra emprunter la camera pour « filmer un mariage ». Bien que Hadja Aminatou aie retiré la carte mémoire de la camera, elle ne s’est pas rendu compte que leur film pornographique est plutôt enregistré dans la mémoire de la camera. Lors du montage de la vidéo du mariage, le cameraman du mariage va découvrir le film pornographique dans lequel il reconnait très bien les acteurs. « Comme j’ai reconnu la femme de Alhadji Dalailou, qui est l’oncle de Alhadji Hamza, c’était très honteux pour moi. Et pour ne pas être l’objet de tout soupçon, j’ai appelé le mari de la femme et je lui ai montré la bande. Il m’a donné 50 000 Fcfa en retour » nous explique le cameraman. Ayant récupéré le film, Alhadji Dalailou a convoqué une autre réunion familiale où il a présenté les preuves de la relation qu’entretenaient son neveux et son épouse.

C’est ainsi que le film qui se partageait via les téléphones portables, s’est répandu dans toute la ville et même au-delà. Ne pouvant supporter de rester encore dans la ville de Meiganga, les deux amants sont porté-disparus.  D’autres informations font état de ce que, Alhaji Hamza serait refugié à Yaoundé, alors que son amante Hadja Aminatou serait entre la région du Nord et le Nigéria voisin. Ainsi s’est installée une grande honte dans la famille Nana Bouba, Pca de la société Soacam, membre du comité central du Rdpc et candidat malheureux au sénatorial.  Au quartier Bongos à Meiganga où habitaient les deux amants, les populations jurent de les « lapider une fois qu’ils y remettront pieds ».  Entre temps, la nouvelle dudit film fait de nombreux curieux et se propage dans toutes les régions du Nord-Cameroun, voire dans tout le pays. Malheureusement, il n’y a aucun moyen d’arrêté la propagation de cette honteuse vidéo.

CAMEROUN::SPORT

Cameroun - Révélation : Le maitre spirituel de Marc-Vivien Foé mÉavait donné un Totem :: CAMEROON

Cameroun - Révélation : Le maitre spirituel de Marc-Vivien Foé m’avait donné un Totem:CameroonIl est venu au Cameroun, en vacances au mois d’août. Sa famille lui manquait. Il a décidé de mettre un terme à sa carrière internationale, à cause des pratiques magico-sataniques. Cet ex-footballeur Camerounais, reconverti dans les affaires, se met à table.

Bonjour Benjamin Diboué, parlez-nous de vos débuts dans le football.
Au Cameroun, j’ai évolué dans les Championnats de Vacances, la coupe Top, des Brasseries du Cameroun.

Comment êtes-vous parti du Cameroun ?
Au cours d’un match de football au quartier Biyem-Assi en 2002, je fus détecté par un technicien Congolais, des « fauves du Niari » C’est comme ça que je suis parti au Congo pour évoluer. 

C’était votre premier contrat ?
Exact, un contrat qui m’avait effrayé. Je n’ai jamais eu peur dans ma vie footballistique. C’est la raison pour laquelle, j’ai tenu à vous faire des confidences. Car, le monde du football, c’est autre chose. Cela n’a rien à voir avec ce que les jeunes pensent. Vraiment c’est l’enfer.

Nos lecteurs vous écoutent
A mon arrivée dans les « fauves du Niari », j’avais été très bien logé et très bien traité. Le jour que je signe mon contrat, il y’avait une femme de nationalité Française, qui était là. Je ne la connaissais pas. Je ne l’avais jamais vu.  A  mon arrivée au Congo, on ne me l’avait jamais présentée. Mais juste après avoir signé mon contrat, le président du club, m’avait convoqué dans son bureau, pour me faire savoir que le Club donne à chaque joueur un maitre spirituel. J’étais bouleversé car, auparavant, je n’avais jamais entendu parler d’une telle chose. Ayant constaté ma froideur, le président précisa tout simplement, qu’il y’avait rien de grave. Juste un guide spirituel.

Avez-vous eu des informations par rapport à cette française ?
Je vous explique. Après avoir eu le premier contact, elle est rentrée en France. En me promettant des lendemains meilleurs dans ma carrière. Je n’y comprenais toujours rien et j’attendais de voir. J’avais peur, et en même temps, je pensais à ma famille au Cameroun.  Qui était noyée dans la pauvreté. J’avais un bon salaire. Lorsque cette femme est revenue au Congo, elle m’a donné une chaine que je devais porter autour des reins, cette chaine, faisait paniquer les adversaires. Une force bizarre était en moi. J’avais remarqué que le plus souvent, les joueurs de l’équipe adverse, paniquaient, lorsqu’ils étaient face à moi. Un jour, après le match, le maître spirituel m’avait donné rendez-vous dans sa chambre d’hôtel. Quand je suis entré, je l’ai aperçue avec un gros serpent autour de son corps. J’avais eu très peur. J’avais voulu fuir. Alors, je me suis retourné et je me suis croisé nez à nez avec le président. Il m’avait tout de suite expliqué que ce n’était pas la peine de partir. Car la chaine que je portais sur moi, était un totem, le serpent. Chacun de mes coéquipiers avait un totem, m’avait-il expliqué. Puisque je connaissais déjà une partie de la vérité, mon maître spirituel me déclara que, de son vivant ; Marc-Vivien Foé ; était aussi sous son contrôle. Et, avait le même totem. Sans tarder, j’ai demandé si j’allais aussi mourir comme Marc-Vivien Foé. Mon maître spirituel me répondit par la négative. Tout en me précisant que, Marco avait demandé plus de pouvoir et avait fini par ne pas respecter la condition.

Votre maître spirituel, vous a-t-il parlé de cette condition ?
Oui, en effet, Marco avait demandé à notre maître spirituel de l’emmener rencontrer la reine de la mer. Pour qu’il obtienne plus de pouvoir. Après cela, il était censé sacrifier sa mère. Mais, il avait refusé de le faire. Ainsi, lors de cette journée fatidique du 26 Juin, un esprit est sorti des eaux a frappé son cœur et l’a tué instantanément.

Il savait qu’il allait mourir ?
Oui il le savait. Il avait fait un pacte et il ne l’a pas respecté.

Comment faisiez-vous les pratiques avec votre chaine ?
Pendant le match, le match, lorsque j’avais le ballon, es joueurs de l’équipe adverse qui venaient me barrer, voyaient le serpent. En lieu et place du ballon. Ça dépend des totems, lorsque ton totem est le tigre, les joueurs adverses voient le tigre devant eux. C’est cela le football. Tu ne peux rien sans cela. Regardez mes photos que je vous ai données. J’ai toujours une chaine autour du cou. C’était mon totem. Certains footballeurs louent les cadavres à la morgue pour faire des pratiques à la veille des matches. D’autres trempent leurs maillots dans les urines traitées par des sorciers pour jouer au football.

Pourquoi avez-vous arrêté le football ?
Tout simplement parce que les conditions devenaient de plus en plus compliquées. J’ai compris que lorsque vous avez un gros salaire, il y’a des sacrifices à faire. Au Cameroun, ce n’est vraiment pas encore cela, car les présidents de club ne sont pas associés avec les sectes d’Europe. Au Congo, il y’a beaucoup de présidents de club qui sont Rosicruciens, Francs-Maçons, et qui sont membres dans les grandes loges en Occident. Et, c’est là-bas qu’ils prennent des maîtres spirituels pour donner aux joueurs et ceux-ci à leur tour vous donne un totem. Qui peut être, un serpent, un scorpion, un lion, un tigre. Un totem c’est toujours un animal qui fait peur. Toutes les stars du football ont un totem. Tous.

Comment le savez-vous ?
Mon maitre spirituel m’avait emmené dans certaines loges lorsqu’elle voulait me donner plus de pouvoir. C’est là-bas que j’ai vu de mes propres yeux, tous les footballeurs qui ont pactisé avec le diable.

Pourquoi n’avez-vous pas pactisé ?
Si je le faisais, j’allais jouer dans les plus grands clubs européens, avoir un grand salaire, mais au même moment les membres de ma famille, allaient mourir.
Que pouvez-vous dire de l’équipe nationale du Cameroun ?
Oh là-bas, c’est l’enfer ! le diable y règne en grand maître. Beaucoup de ces joueurs sont homosexuels, francs-maçons, rosicruciens. Il y’a quatre joueurs dans cette équipe qui ont tué les membres de leurs familles. J’ai beaucoup d’amis footballeurs qui  ont refusé de jouer à l’équipe  nationale. Les problèmes qui existent entre les joueurs proviennent des loges, de l’homosexualité. Vous savez, moi, j’ai toujours rêvé, jouer dans les grands clubs, même à l’équipe nationale. Mais ce que j’ai vu est incroyable. J’ai le peu que Dieu m’a donné, vraiment, je m’occupe de ma famille.

Quels conseils donnez-vous aux jeunes qui jouent ou qui veulent jouer au Football ?

Je leur demande de se contenter des petites équipes, de bien lire leur contrat avant de parapher et de ne jamais accepter un maître spirituel.

A propos du maître, comment s’est passé la séparation ?
Je me suis rendu compte que la chaine que je portais était un totem, je ne m’adonnais plus beaucoup au cours du match. Et, pour cela, le coach commençait à me remplacer et, au même moment, je contactais un exorciste à qui je posais le problème et c’est ainsi que je me suis débarrassé de cette maudite chaine.

Le mot  de la fin
Je dis pour finir aux jeunes footballeurs de faire attention avec le football. Ne regardez pas les grandes stars, je ne veux pas les citer. Je les connais tous. Chers amis, vous pouvez jouer dans une petite équipe avoir 1.500.000 CFA de salaire, et faire votre vie simplement.


 

 

 

 





 
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PROVERBE ou CITATION  
  Une amitié qui ne peut pas résister aux actes condamnables de l'ami n'est pas une amitié...

Ce n'est ni le génie ni la gloire ni l'amour qui mesurent l'élévation de l'âme humaine, c'est la bonté.

Un mensonge souvent n'est qu'une vérité qui se trompe de date. Et cela peut se dire aussi bien de la science que de l'amour.
 
POEME DU JOUR  
  Tu es la plus belle de toute les fleurs,
Celle qui embellie ma vie,
Qui remplit ma tête de mille couleurs,
Même quand dans mon coeur tout est gris.

Ton sourire me redonne du bonheur,
Ton regard est si joli,
Qu'il fait battre bien plus fort mon coeur,
Ton charme entier me conquit.

J'aime ton parfum et ta douceur,
Je t'aime à la folie,
Et je t'aimerai jusqu'à ma dernière heure,
Jusqu'à mon dernier souffle de vie,

Tu seras toujours l'amour
Qui fait vaciller mon coeur.
 
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