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Blanche Bana : « Je suis tombée folle amoureuse du cinéma »


Les générations se succèdent et Blanche Bana étoffent le carnet d’adresses du 7ème art de l’Afrique en miniature par la richesse, la grâce et la classe de son talent. Comme un destin atypique, la fleur des plateaux cinématographiques s’est posée sur son chemin et l’a enlacée pour lui insuffler telle une cerise sur le gâteau de sa vie, la voie de la caméra pour les longs et courts métrages, etc. Un pas après l’autre, l’actrice enchaîne tout doucement les scénarii pourtant sa formation à l’Institut Africain d’Informatique l’a poussait évidemment à être une geek ! C’est donc le reflet de ses personnages qui actionne le micro de votre portail pour échanger avec Blanche Bana sur les points que vous découvrez ici.

Bonne année Blanche Bana, comment vas-tu ?

 Bonne année, je vais super bien.

Tu es une jeune actrice camerounaise depuis quelques temps, d’où vient cet amour que tu as pour le cinéma ?

Je débute dans le cinéma plus exactement en octobre 2012 ! Ça ne fait pas très longtemps, même pas deux ans ! Je commence vraiment sans conviction parce que j’ai eu une formation en Informatique à l’IAI… D’abord, je suis castée par un réalisateur et puis, qu’est-ce que je vais foutre là-bas, ce n’est pas trop ma chose. Moi je suis à l’école et ce n’est pas trop mon truc. Et du coup, premier clap, première séquence et puis, c’est parti ! Il y’a eu comme un déclic entre moi, mon personnage, les caméras, tout le monde qui était là. J’ai adoré, j’ai aimé…

Tu dis avoir commencé le cinéma sur un coup de tête, qu’est-ce qui a véritablement excité cette vocation là ?

C’est cet amour là que j’ai ressenti en moi. C’est un peu comme une femme qui enfante… Au début, on est heureux d’accord mais après quand on voit cet enfant, on dit waouh ! Je pourrai bien en faire un deuxième ou un troisième, ça ne dérange pas. On tombe très amoureuse de son enfant et puis c’est comme ça. C’est un peu ce qui c’est passé entre le cinéma et moi. Je me suis mise devant la caméra le premier jour et, j’ai aimé, j’ai vu mes images après, j’ai vu ce que j’avais fait… Je suis tombée folle amoureuse du cinéma et de moi (rires). Je ne suis pas narcissique (rires) !

Qui est celui qui t’as porté vers le 7ème art ?

En réalité, c’est le producteur Kamga Michel parce qu’il connaissait où le film va et puis, il avait besoin de certains profils. Ça s’est passé ici à l’IFC parce que chaque fois, je venais manger mes salades et tout le reste et puis, je repartais avec mes copines ! Et j’ai été casté pour son film et c’est parti comme ça.

Quels sont les films et/ou séries pour lesquels tu as été en tant qu’actrice ?

(Sourire) Waouh ! Déjà je commence avec « Le Colis ». Et pendant le tournage, il y’a d’autres réalisateurs qui me voient sur scène, viennent vers moi et puis ça s’enchaine… J’ai aussi joué avec Hervé Harding Ngueffo dans « Seul ceux qui aiment », le deuxième long métrage où je joue toujours auprès d’Etienne Eben et Jacoba Yaro. Ensuite les séries, euh il y’a « Lex Nostra » de Gérard Désiré Nguélé ; « Monsieur L’Abbé » de Serge Alain Noah ; « Au Nom de la Loi » de Dominique Bihina ; « Au Cœur de la forêt » de Clotaire Minka… Et maintenant, les pubs j’en suis à ma quatrième !

Quel est le film qui t’as le plus extasié ?

C’est surtout « Seuls ceux qui aiment » parce que là, j’ai senti en moi une femme qui a eu un amour blessé ! Je me suis sentie blessée dans ce film, trahie, bafouée même dans mon amour propre. En fait, j’ai fait ce que je n’avais jamais fait avant. Avec aussi « Lex Nostra », j’ai adoré, j’ai aimé. Je suis avocate, je m’exprime simplement. Et puis, c’est un rôle de composition aussi. D’un côté avocate et d’un autre, je suis une jeune femme qui fait trembler les cœurs. Mais sinon c’est « Seuls ceux qui aiment »…

Qu’est-ce qui fait la particularité de Blanche Bana quand on sait que les acteurs généralement se regardent et font leur autocritique. Forcément, tu te donnes une certaine ligne directive pour évoluer dans ton jargon de façon unique.

Bèh oui, ça c’est vrai. C’est vrai que je suis beaucoup sollicitée. Je suis toujours appelée… Déjà, ce que j’ai remarqué en moi, c’est la force dans mon regard face à l’écran. Ça c’est une chose que j’ai toujours remarqué, que j’ai toujours apprécié. Bon maintenant le reste ça s’accompagne. Et, nous savons que la force du cinéma c’est le regard. Et ça, je l’exploite vraiment autant que je peux. Maintenant, le reste  ça vient après. Maintenant la particularité qu’on me prenne ou non, je ne peux pas répondre (rires) !

N’as-tu jamais pensé à continuer dans une école de cinéma ?

Si si, j’y pense de plus en plus même d’ailleurs et j’aimerai vraiment le faire (sourire).

Tu as au moins participé à des ateliers de formation ou autres en rapport avec le cinéma ?

J’ai participé à un atelier de formation aux Ecrans Noirs 2013 avec Alain Bomo Bomo et c’est tout ! De temps en temps, je fais des lectures avec Gérard Essomba, on s’est croisé sur le plateau de « Lex nostra » dans ce cabinet d’avocat là. Et je suis d’ailleurs casté pour son prochain film.

Quand tu répètes par exemple un personnage, comment est-ce que tu fais pour te mettre dans la peau de ce personnage pour que le public se retrouve à travers ton jeu d’actrice ?

Déjà, mon scénario, quand je l’ai, je l’ai en entier même si j’incarne un rôle secondaire ! Il faut que j’aie mon rôle en entier. Ça me permet de comprendre psychologiquement mon personnage. En buchant mon scénario, je comprends mon personnage. Et puis à ce moment là, je vis comme mon personnage. Je deviens mon personnage. Tout ce que je fais, c’est une image ! C’est mon personnage qu’on voit ! Ce n’est plus moi…

Les rares fois où je t’ai vu, tu es toujours bien mise, fashion. Est-ce que c’est le fait d’être un personnage public qui t’oblige à être ainsi ou bien c’est un état d’esprit continu en toi ?

Non, ce n’est pas le fait que je sois dans le cinéma. J’ai toujours été comme ça. Déjà, à la maison, on me traite de narcissique (rires) ! Ils disent tout le temps que je condamne le miroir ! J’aime être bien mise en fait ; je suis comme ça depuis. Le cinéma vient juste ajouter de l’eau à mon moulin ! Sinon, j’ai toujours été comme ça.

Quel genre cinématographique préfères-tu ?

Juste les fictions !

Quels sont les acteurs et actrices que tu apprécies le plus, que ce soit au Cameroun ou ailleurs ?

J’apprécie particulièrement le jeu d’acteur de Gérard Essomba qui est un monument en jeu d’acteur. Et chaque fois que je le vois jouer, je me dis toujours qu’il faudra que je sois plus que Gérard Essomba ; pas comme lui, mais plus que lui parce que c’est un monsieur vraiment… Chapeau ! Bah en dehors de lui, il y’a également Alain Bomo Bomo que j’apprécie beaucoup. Son jeu d’acteur, la facilité avec laquelle il aborde son texte et tout le reste… Et puis, il y’a également des filles bien sûr. Notamment Valérie Duval Efouba que j’aime beaucoup et on s’entend très bien (rires) ; Thérèse Ngono. Au Ghana, Van Viecker et Ine Ado. Maintenant, ailleurs Sandra Bullock. En fait je suis plus attaché au cinéma africain. Aux Etats-Unis et ailleurs, c’est la perfection ! Du coup, je me dis mes idoles ce n’est pas trop là-bas. Mes idoles s’arrêtent naturellement chez moi par exemple…

Ça fait un an et demi que tu cours les plateaux. Quelles sont tes ambitions dans le cinéma ?

La production ! Oui, je voudrai produire moi-même mes films… D’abord, je suis à mon deuxième scénario long métrage, écrit. Peut-être pas la réalisation. Ce n’est pas mon affaire. J’aime être devant la caméra. Si je ne suis pas devant, je produirai.

Ah ok je vois le truc. Tu voudrais être une véritable femme d’affaires ?

(Rires) non ce n’est pas forcément ça ! Moi j’aime être devant la caméra, c’est tout ! Bon maintenant si à un moment je ne suis pas devant la caméra, moi-même je peux produire et puis, un réalisateur réalise.

Est-ce que Blanche Bana est mariée ?

(Sourire) Non, je ne suis pas marié ! Pas encore. Même pas fiancée… Mais je suis prise (rires) !

As-tu des enfants ?

Oui !

Ton point de vue sur le cinéma camerounais en ce moment ?

Sincèrement, je ne peux rien dire sur le cinéma camerounais en ce moment parce que jusqu’ici, je n’ai eu de souci avec personne ! Que ce soit les producteurs, les réalisateurs, on est toujours en bon accord. En ce qui concerne d’ailleurs notre ministère de tutelle, je ne suis jamais allée vers eux pour leur demander quoique ce soit. Donc du coup, je ne sais pas ce qui se passe. Ce qui m’intéresse moi, c’est d’arriver sur un plateau, signer mon contrat, qu’il soit régler et puis, je pars.

Ton mot de fin ?

Continuez à encourager les acteurs parce que je reste d’abord actrice même si plus tard je deviendrai producteur ou n’importe quoi d’autre. Je voudrai d’abord encourager les acteurs. Ce n’est pas facile chez nous au pays, ça on le sait ! Mais il faut qu’on rêve parce que ce n’est que par le rêve qu’on peut être ce qu’on voudrait être. Si on ne rêve pas, on ne peut rien. Il faut aller de l’avant. Continuer à bosser très dur pour pouvoir être des icônes de cinéma de demain. C’est un peu ça ma devise. Bosser, bosser, toujours bosser !









Interview : Lucie Memba Bos, Actrice – Cameroun

                                                                                                                

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Lucie Memba Bos est l’actrice camerounaise la plus prolifique du moment. Elle enchaîne les productions, francophones et anglophones, que ce soit dans le domaine du cinéma que dans la publicité. Dans le casting du film « Fast Life » tourné au Cameroun, elle incarne la soeur de Thomas Ngijol, qui en est également le réalisateur. Nous sommes allés à sa rencontre…

BNPS magazine : Comment décide-t-on de se lancer dans le cinéma quand on est une jeune femme africaine ?

Lucie Memba Bos: Tout simplement poussée par la hargne de réaliser son rêve et de vivre pleinement sa passion, dans un contexte où le cinéma Africain a pris son envol.

BNPS magazine : Tu travailles beaucoup avec des productions anglophones au Cameroun alors que tu es issue de la partie francophone du pays. Raconte …

L.M.B : Effectivement, je suis tout simplement une actrice camerounaise ; nous avons la chance d’avoir une diversité culturelle. Notre cinéma porte la marque de notre identité linguistique à savoir l’Anglais et le Français. Je travail avec des producteurs anglophones et francophones qui croient tout simplement en mon potentiel artistique. Reconnaissons que le côté anglophone est largement influencé par l’industrie Nollywoodienne, donc beaucoup de productions « home vidéos » et forcément beaucoup de visibilité qui ne pourraient que m’enchanter…

 

BNPS magazine : Quel est le rôle que tu as le plus aimé incarner ?

L.M.B : Celui de la folle hystérique et passionnément amoureuse prête à tout pour récupérer son homme… dans le film « Passion.com » : à la fois un joli challenge et amusant.

BNPS magazine : Tu donnes l’impression d’une femme de caractère. Un avantage, ou un inconvénient dans ce milieu peuplé d’hommes ?

L.M.B : Ahahahah… vraiment ? C’est l’impression que je donne ? Waouh ! Je crois que c’est un peu les deux car pendant que cela empêche certains d’être objectifs et pointilleux par rapport à mon travail, d’autres par contre en font bon usage pour un rendu sélectif.

BNPS magazine : A ce jour, quelle est ta plus belle expérience cinématographique ?

L.M.B: Celle de la série « Paradis » car elle s’est réalisée en trois saisons et sur trois ans et demi, avec très peu de moyens financiers et techniques mais avec une équipe qui partageait la même passion. Une seconde famille je dirais. En plus la série a été diffusée dans plus de cinq pays et sur plusieurs chaines de télé.

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BNPS magazine : Avec quel Réalisateur rêverais-tu de travailler ?

L.M.B : James Cameron : la raison se trouve dans le film Titanic.

BNPS magazine : Tu as décroché un rôle dans le film « Fast Life » de Thomas Ngijol tourné au Cameroun. Raconte-nous …

L.M.B : Oui en effet. Quelques semaines après avoir passé l’audition, j’ai reçu le coup de fil que j’attendais et je me suis dis: « ça va être génial de bosser avec Thomas Ngijol et Karol Rocher. » J’ai vraiment beaucoup appris sur ce plateau. Très professionnel et ouvert d’esprit. En plus, l’histoire est captivante. J’ai hâte de voir le film…

BNPS magazine: Quelles sont tes projets immédiats en matière de cinéma ?

L.M.B: En ce moment en tournage au pays Bamoun du film « NTAH’ NAPI » la petite fille Bamoun. Je prépare également la sortie en DVD du film « Paradis, quand le destin s’en mêle » tiré de la série « Paradis ». Des productions internationales et locales du coté anglophones et francophones.

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Lucie Memba looking FAB

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Lucie Memba Bos always looks hot when I pry through her facebook. She shared more pictures recently.
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Cinéma : Alain Bomo Bomo, un acteur à suivre de près – Interview

 
                                                                               Alain BOMO BOMO, alias ABB ou « double Bomo », est un acteur de cinéma Camerounais né le 25 mars 1982 qui débute sa carrière cinématographique en 2003 dans le long-métrage Confidences, de Cyrille MASSO. Il enchaîne ensuite les plateaux avec entre autres deux autres longs métrages, plusieurs courts-métrages et des séries TV populaires au Cameroun. Considéré comme espoir certain de ce métier au pays de Jean-Pierre BEKOLO, ABB se voit aujourd’hui offrir des rôles importants dans des projets axés Afrique – Europe … Et c’est évidemment tout le mal qu’on lui souhaite !

 

Je Wanda Magazine : D’où te viens ta passion pour le cinéma en général et le métier d’acteur en particulier ? Alain Bomo BomoAlain Bomo Bomo : Quand j’étais adolescent à Ngaoundal, un arrondissement dans le septentrion, j’imitais les pas de danse de Michael Jackson… La belle époque (Rires). Je goutais un peu à la popularité, je vous avoue… les filles et… bref (Rires). Il y avait parmi ceux de qui j’ai hérité l’amour pour la danse une manie de me dire « tu ressemble à Denzel Washington ». Je ne savais même pas de qui ils parlaient (shame on me, je sais), moi j’étais fan de films hindous. Ils m’ont tellement harcelé avec ça, qu’ils ont fini par créer en moi cette curiosité de savoir qui peut bien être ce mec.
Et un jour, on me met littéralement face au film « Malcom X ». Waouh ! Ce film m’a bouleversé par son histoire et le jeu de Denzel Washington, Parfait. Et moi qui n’avais d’yeux que pour « Teri Kasam »… Voilà d’où est née ma passion pour le cinéma. Mais j’ai commencé par la pub, lors d’un casting de la pub nescafé á Yaoundé en 2002.
Dans un accès de folie, je vous l’avoue, je lance au directeur de casting (alors que j’étais favori pour le 1er rôle) que tout ça ne me plait pas ! Je veux plutôt être, sans aucune prétention, le Denzel Washington version Kmer en travaillant encore et encore. C’est ainsi qu’on m’écarte du casting. Mais un mois plus tard, Georges Biyong, cameraman du casting nescafé et qui était 1er assistant dans Confidences, m’appelle et me met le scénario entre les mains en me demandant de prouver ce que j’ai avancé au casting. Il m’a dit « je suis peut être stupide de faire confiance à quelqu’un n’a jamais fait ce métier, mais je prends le risque ».
Cette phrase m’a marqué au point où ma première motivation a été bien entendu de prouver de quoi je suis capable. J’étais dans le film aux côtés de Thierry Ntamack, Tatiana Matip et Koppo. La Première s’est très bien passée. J’ai suscité la curiosité des spectateurs, qui se demandait d’où je sortais (Rires).
JWM: Au Cameroun, tu es considéré comme étant l’un des espoirs du cinéma de demain. Qu’en penses-tu ? ABB: Ça fait vraiment plaisir d’entendre dire ça de moi, je pense humblement que mon travail commence à être reconnu. Vous savez, j’ai fait mon entrée dans le milieu du cinéma dans lequel beaucoup y sont via le théâtre. Alors m’imposer comme autodidacte, quelqu’un qui ne sort de nulle part n’a pas été facile. Je ne voulais surtout pas provoquer les rires de mes différents partenaires de jeu. J’ai subi pas mal de frustrations, quelques discriminations aussi mais je suis resté ferme dans la rupture du jeu d’acteur que je voulais m’imposer et inconsciemment, imposer aux autres. Aujourd’hui, cette reconnaissance importante à mes yeux marque l’acceptation de cette rupture en question : jouer différemment. Depuis mes premiers pas devant la caméra, je ne me suis plus arrêté. Je suis quelqu’un d’assez discret et d’observateur. Je bosse, encore et encore…
JWM: Tu as tenu les rôles principaux de deux séries qui ont pas mal cartonné au Cameroun, « Haute Tension » et « Au cœur de l’Amour ». Raconte … ABB: Haute tension marque mon « couronnement » au Cameroun en tant qu’acteur. Je sortais fraichement du stage de jeu d’acteur que le CFPA-CRTV avait organisé. J’ai ainsi pu expérimenter tout ce que j`avais appris á durant cette période en terme de construction du personnage et des différentes techniques de jeu… Au Cœur de l’Amour est la série qui m’a révélée au grand public… surtout féminin (Rires).
JWM: Quelle est ta plus belle rencontre artistique dans le cinéma ? ABB: Ma plus belle rencontre artistique: le grand Daniel Ndo, celui qui m`a formé psychologiquement et artistiquement à toujours m’efforcer d’être à la hauteur des rôles qu’on me propose. Je lui dois beaucoup dans le tournant de ma carrière. C’est lui qui m’a appris qu’un personnage est un construit scientifique, et que l’acteur n’est qu’un instrument aux mains du Réalisateur. Je me souviens le nombre de fois où il m’a répété qu’un acteur n’est pas seulement le talent, mais aussi le comportement, la modestie, le respect de l’autre…c’est mon mentor. En bon acteur de théâtre, lui m’a cependant formé au jeu d’acteur de cinéma, m’obligeant à surtout toujours distinguer les deux.
JWM: Tu es l’un des rôles principaux d’un long-métrage franco-camerounais récemment tourné au pays. Que tires-tu de cette expérience ? Alain Bomo Bomo et Bruno HenryABB: Ahhh « W.A.K.A » ma plus grande victoire pour le moment, avoir l’opportunité de m’exprimer sur la scène internationale auprès de grands hommes tels que Bruno Henry (aussi la voix française de célèbres acteurs américains : Terrence Howard, Djimon Hounsou, Tyrese Gibson etc…) ou encore Yoli Fuller (Talent Cannes Adami 2010) …surtout Bruno, de qui j’ai énormément appris. Me frotter à cet homme sur le plateau m’a permis de comprendre effectivement tout ce dont Daniel Ndo me parlait en terme de modestie, de rigueur dans le travail, de bonne humeur sur le plateau. Je ne finirai cependant pas ce propos sans parler de ma « Director » preferée Françoise Ellong. Un grand esprit dans un petit corps de Femme. De ma petite carrière, je n’avais encore jamais rencontré une « Realo » aussi exemplaire en terme de collaboration artistique, d’énergie positive et de diplomatie. Sans pour autant vouloir la flatter (elle est vite embarrassée), ceux qui me côtoient savent que je suis véridique. Rendons à César ce qui lui appartient ! Elle est pour l’instant la meilleure des réalisatrices que je connaisse à ce jour.
JWM: Tes futurs projets … ABB: La série Lex Nostra de Gerard Nguelé, l’un des Realo que je respecte le plus. Cet homme a gardé un cœur pur dans le cinéma. C’est un exemple dans le monde du cinéma au « Camer » en terme d’exigence dans la qualité. J’y donnerai la réplique au grand acteur Gérard Essomba. J’ai tellement rêvé de pouvoir un jour incarner le rôle d’un avocat et voilà que ce rêve se réalise. Un long métrage en développement tout en anglais (Gosh ! Rires) qui se tournera en Europe. Et enfin, un film Ghanéen une fois de plus en anglais dont je tairais également malheureusement le nom (respect des consignes des différentes productions) qui se tournera dans trois pays : Cameroun, Ghana et Nigéria. Il y a aussi bien évidemment les petits projets locaux, qui ont eux aussi toute mon attention et pour lesquels je compte bosser avec la même passion et hargne.

F.E

Site officiel. Le rejoindre sur Facebook. Imdb: http://www.imdb.com/name/nm5448736/

interview-alain-bomo-bomo-cameroun 3

  Saison 1 « Au Cœur de l’Amour » http://www.tv5mondeplusafrique.com/#serie_serie_au_coeur_de_l_amour

 

Haute Tension 1

Haute Tension 2

 

 

 








Fotso Bogne Eric est un jeune designer de la ligne de vêtement streetwear Suprême-Foboer. A seulement 24 ans, il est bien partir pour un future très prometeur en matiere de design. Eric Fotso est bien determiné à atteindre les hauts sommets. Le jeune prodige de la mode streetwear hip hop nous emmène dans le monde the Foboer; son passé, son présent et son futur.

Nexdim:Peux tu parler de tes débuts dans la création de vêtement?
E.F: Ma carrière vraiment débute en 2004. Au départ suprême-foboer est une marque que j’ai créée pour porter. Les T-shirts importés au cameroun ne sont que des contre-façons et je ne voulais pas porter de la contre-façon. C’est de là que me vient une idée de mettre une marque sur pied. Et au file du temps, les vêtements que je crées imprésionnent les gens et là une grande idée me vient de la commercialiser. C’est en 2006 que je commence la commercialisation de ma ligne mais comme vous le savez tous les déduts ne sont pas facile. Mon premier plan d’action est de faire connaitre ma marque de vêtement et de la mettre au top mais avec les moyens dont je dipose ne m’aide pas encore à m’inposer. Mais après j’ai l’idée de passer dans une émission télé et en Septembre 2007, je passe ma première emission télé à l’émission Mboa de Tony Nobody. Ce passage me met au premier rang dans les lignes de vêtements hautes gammes. Toujours cette année là, j’organise un évenement intitulé “Mega Bringue Hip Hop 24h.” Mais là, je n’ai pas trop de chance car les jeunes camerounais ne sont pas encore bien inclus dans la cultures hip hop. Je pense que c’est entrain de changer. Et c’est bien pour ma prochaine lancée non stop.

Nexdim: Tu ne costumises que des T-Shirt?
E.F: Oui pour l’instant, mais l’année prochaine en 2010
je ferai des casquettes aux jeans.

Nexdim: Quels sont les prix des T-shirt Supreme-Foboer?
E.F: Les prix commencent minimum 3500 Fcfa
et peuvent aller pour l’instant jusqu’a 5000 Fcfa
mais l’année prochaine les prix pourront atteindrent 15000 Fcfa pour les plus beaux. Avec mon nouveau marteriel les gens ne verront que du feu parce que même les Etats Unis et le Japon ne feront pas mieux que SUPREME-FOBOER en niveau design.

E.F: Puisque tu fais dans la mode hip hop tu devrais être fan de la musique hip hop!
Effectivement! Et j’habille aussi certains artistes hip hop tels que Jay-N ou encore Tony Nobody .

Nexdim: Qu’est ce que tu écoutes en ce moment en matiere de hip hop?
E.F: En ce moment j’écoute pour le kamer Valsero , Jay-N , Kila Mel , Karnatox et le GS FAMYLI et pour ce qui concerne l’occident, il y a Lil Wayne , Jay-Z , Kanye West et T-Pain.

Nexdim: Pour respecter la regle et decouvrir ta personalité, parlons des tes favoris
Ta couleur préferé
le bleu ciel
Ton animal préferé de compagnie
Le tigre comme animal de compagnie je n’en ai pas
Ton sport favorit
hokey sur glace
Ton plat préféré
Poulet Dégé bien fait
Ton proverbe préferé
Qui remet a demain trouvera malheur en chemin
Ton film préféré
Entre deux rives

Nexdim: Quel est ton mot de fin?
Je dirais que 2010 marquera le reste de ma carrière. Le monde acceptera sans discuter Suprême-Foboer. Vous verez vraiment mon savoir faire.

Contact: foboer@gmail.com
www.facebook/supreme.foboer
www.supreme-foboer.skyrock.com tel: +237 99-42-91-18








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  Une amitié qui ne peut pas résister aux actes condamnables de l'ami n'est pas une amitié...

Ce n'est ni le génie ni la gloire ni l'amour qui mesurent l'élévation de l'âme humaine, c'est la bonté.

Un mensonge souvent n'est qu'une vérité qui se trompe de date. Et cela peut se dire aussi bien de la science que de l'amour.
 
POEME DU JOUR  
  Tu es la plus belle de toute les fleurs,
Celle qui embellie ma vie,
Qui remplit ma tête de mille couleurs,
Même quand dans mon coeur tout est gris.

Ton sourire me redonne du bonheur,
Ton regard est si joli,
Qu'il fait battre bien plus fort mon coeur,
Ton charme entier me conquit.

J'aime ton parfum et ta douceur,
Je t'aime à la folie,
Et je t'aimerai jusqu'à ma dernière heure,
Jusqu'à mon dernier souffle de vie,

Tu seras toujours l'amour
Qui fait vaciller mon coeur.
 
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